The film traces the history of the ukulele, introduced to Hawaii in 1879 by Portuguese immigrants. Quickly embraced, it became a staple in the United States and France, where enthusiasts regularly gather.
In French Polynesia, the instrument evolved. In Tahiti, it symbolizes celebration and accompanies the “bringues.” The documentary follows artisans and musicians preserving its tradition.
In Raiatea, it pays tribute to Vehia, a master of tremolo, and explores the ukulele’s central role in Tikehau. In the Cook Islands, it becomes both a livelihood and a cultural emblem.
"There is no sad ukulele" celebrates its joy and festive spirit.
I composed short pieces of music to give the film some breathing space, as it already contains a lot of music, by recording the Tahitian ukulele.
Fr.
Le film retrace l’histoire du ukulélé, introduit à Hawaï en 1879 par des immigrants portugais. Adopté rapidement, il devient un incontournable aux États-Unis et en France, où des passionnés se réunissent régulièrement.
En Polynésie française, l’instrument évolue. À Tahiti, il symbolise la fête et accompagne les « bringues ». Le documentaire suit des artisans et musiciens perpétuant la tradition.
À Raiatea, il rend hommage à Vehia, maître du trémolo, et explore son rôle central à Tikehau. Aux îles Cook, le ukulélé devient un moyen de vie et un vecteur culturel.
« Il n’y a pas de ukulélé triste » célèbre sa joie et son esprit festif.
J'ai composé de courtes musiques pour apporter une respiration au film, qui comporte déjà beaucoup de musique, en enregistrant du ukulélé tahitien.
Diffusion : France Television
Réalisateur : Antoine Laguerre
Auteur : Antoine Laguerre
Année : 2024
Durée : 52 minutes